Ils ont un contenu liquidien pur avec renforcement postérieur, forme arrondie, paroi très fine souvent invisible, absence de végétations mais parfois présence de ponts de granulosa donnant des aspects de fines cloisons.

Lorsqu’ils sont volumineux (5 à 10 cm) et dans ce cas difficiles à différencier d’un kyste séreux uniloculaire, c’est essentiellement l’évolution qui permettra un diagnostic rétrospectif : régression puis disparition complète spontanée ou sous traitement freinateur (1 à 3 mois de pilule).

En cas de régression incomplète, on peut proposer une ponction échoguidée avec analyse cytochimique du liquide : on retiendra en faveur de la nature fonctionnelle du kyste un taux élevé d’œstradiol supérieur au taux sanguin, un CA 125 bas et l’absence de cellules suspectes.

De plus, cette ponction a un rôle évacuateur mais en cas de récidive ou de résultat cytochimique suspect, la cœlioscopie s’impose.

Habituellement le kyste est moins volumineux qu’un kyste folliculaire (il mesure 3 à 6 cm), centro-ovarien, à contenu échogène et paroi épaisse, crénelée et souvent très vascularisée avec des flux à basse résistance (IR < 0,50).

En cas de grossesse : il est souvent liquidien pur avec paroi épaisse richement vascularisée ; physiologique jusqu’à 3 cm de diamètre (corps jaune gravidique) ; au-delà (3 à 6 cm), il doit être contrôlé et doit normalement disparaître en début de 2ème trimestre ; en cas de régression lente et incomplète la ponction échoguidée peut avoir un rôle diagnostique et thérapeutique.

Elle est fréquente car la paroi du corps jaune est richement vascularisée ; elle peut simuler :

 une masse ovarienne pleine car le kyste rempli de caillots frais a un contenu très échogène ; toutefois, la présence d’un renforcement postérieur confirme sa nature liquidienne et il va rapidement se modifier : perte progressive de son échogénicité, regroupement des échos internes avec rétraction du caillot, apparition de dépôts de fibrine sous forme de fines cloisons internes ;

 des végétations endokystiques très inquiétantes, mais contrairement à des végétations ces caillots ne sont pas vascularisés alors qu’il existe un flux dans la paroi du kyste ; enfin ils sont mobiles avec les changements de position et se résorbent aux contrôles successifs ;

 une GEU car le kyste hémorragique se traduit par une masse annexielle douloureuse associée à un tableau de pseudogrossesse (retard de règles mais ß-hCG négatif) par persistance du corps jaune : syndrome d’Halban.

ATTENTION : La pilule EP est temporairement contre-indiquée pendant le post-partum (jusqu'au retour à la normale) des patientes ayant fait : 

– un diabète gestationnel, 

– une préeclampsie, ou une hypertension artérielle gravidique,

– un ictère cholestatique.

Méthode de prise de température en utilisant le thermomètre médical électronique

Prise de température
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Vitesse de sédimentation (VS) : Fiche pratique labo

La vitesse de sédimentation des éléments figurés du sang est mesurée dans une colonne calibrée et graduée. Elle est exprimée par la hauteur en millimètres du plasma surnageant les éléments qui ont sédimenté au bout de 1 heure et de 2 heures. Des techniques plus rapides existent actuellement.

Indications :

Elément d’orientation diagnostique, non spécifique, mais simple à réaliser, dont le résultat est déterminé par le nombre de globules rouges et leur volume, le taux de certaines protéines, la viscosité du sang. 

Conditions de prélèvement :

Prélèvement de sang veineux (en général au pli du coude). 

Prélèvement effectué généralement à jeun.

Le tube de sang contient un anticoagulant qui est du citrate de sodium.

• Conservation possible quelques heures à température ambiante.

Fichier à télécharger (333.18 Ko)

Note d’information : Préparation des prélèvements pour une recherche d’agents infectieux

Etiologie des avortements précoces à répétition :

– causes chromosomiques,

– causes hormonales,

– causes mécaniques : malformations utérines, synéchies, fibromes sous-muqueux responsables d'”effet stérilet”,

– causes infectieuses : chlamydia et mycoplasme,

– causes immunologiques : surtout si on trouve des anticorps antiphospholipides,

– maladies générales.

Note destinée à toutes les femmes enceintes :

– dans les crèches ;

– toutes les puéricultrices, assistantes maternelles…;

– les institutrices ;

– les infirmières et personnel féminin en pédiatrie ;

– les infirmières et personnel féminin en gériatrie (élimination urinaire du CMV) ;

– et toutes les femmes qui ont un bébé à la maison.

  • Anomalies du crâne à l'échographie

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Points clés

La thyroïdite d’Hashimoto est une inflammation auto-immune de la thyroïde.

Les patients ont parfois d’autres maladies auto-immunes.

Les concentrations de TSH et de T4 sont initialement normales, mais secondairement, la TSH augmente et la T4 baisse, et la plupart des patients deviennent cliniquement hypothyroïdiens.

Il y a des titres élevés d’Ac antithyroperoxydase et, moins fréquemment, d’Ac antithyroglobuline.

Un traitement substitutif par hormones thyroïdiennes au long cours est généralement nécessaire.

DCIDosageSpécialitéPrésentation
Norelgestromine + éthinylestradiol203 μg / 24 h + 33,9 μg / 24 hEVRA ®Boite de 9 patchs

Ici il y a un popup : popup modal +++ (bouton, image, time) (ici : time : 10 secondes)…

Autre popup : Modal popup (affiche plusieurs possibilités : image, lien html, vidéo youtube ou autre, page externe, code court) [exclusive addons]

Tableau table press (la table est préalablement construite puis  sélectionnée ici)

Advanced tabs (essential addons) (EA)

  • Testez vos connaissances : quiz sur le frottis
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