Ils peuvent être utiles pour l’étude de lésions vulvaires dont l’épithélium malpighien est ulcéré.

Après nettoyage de la lésion avec une compresse sèche, on préfère la technique de l’empreinte qui consiste à appliquer la lame de verre directement au contact de la lésion puis à la fixer.

On pourra ainsi distinguer une lésion néoplasique d’une lésion bénigne : herpès, granulome inguinal, mycose ou surtout syphilis par l’examen de la sécrétion à l’ultramicroscope.

Enfin, il faudra savoir rechercher des oxyures par prélèvement des œufs à l’aide d’un scotch ou examiner un poil à la recherche d’un Phtirius inguinalis visible très facilement au microscope.

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