1. Cas N° 1 :
– Important kyste ovarien (liquidien pur) sous pariétal,
– mini-incision transversale sus-pubienne de 3-4 cm,
– incision minime de l’aponévrose et du péritoine,
– écartement des berges de l’incision avec les écarteurs de Farabeuf,
– on « tombe » directement sur le kyste,
– on procède à sa ponction avec une grosse seringue (on retire le maximum),
– préhension du kyste par des petites pinces à griffes (et aspiration de son contenu),
– extériorisation à la peau,
– kystectomie (ligature de son pédicule),
– vérification de l’hémostase au bistouri électrique ++,
– suture de la brèche (sans aucune résection) en surjet au Vicryl,
– vérifier l’hémostase,
– toilette abdominale à la compresse,
– fermeture de la paroi plan/plan,
– surjet dermo-épidermique sur la peau.

2. Cas N° 2 :
Kyste ovarien organique séreux gauche de 10 cm
Mlle H. A. 31 ans.
– Sous anesthésie générale,
– mini-laparotomie transversale (Pfannenstiel) de 3 cm,
– A l’exploration : on retrouve :
– une formation ovarienne kystique gauche, bien limitée d’environ 10 cm, adhérente aux structures de voisinage par des adhérences lâches, la trompe homolatérale est normale,
– un utérus de taille normale, sous le kyste,
– le reste du pelvis parait sans particularités (à la palpation),
– On procède à une ponction du kyste, puis à l’aspiration totale de son contenu,
– le liquide est jaune citrin,
– extériorisation partielle de l’ovaire,
– dissection de la paroi kystique qui s’avère un peu laborieuse,
– la paroi est lisse sans végétation (l’ablation est totale),
– hémostase assurée sur l’ovaire,
– suture de la semelle ovarienne au vicryl 3/0 en surjet en 2 plans,
– réintégration de l’ovaire (qui s’est bien reconstitué) dans le pelvis,
– toilette abdominale,
– fermeture de la paroi plan par plan,
– Surjet dermo-épidermique sur la peau.
– Fin d’intervention :
. Réveil sur table, TA = 13/07,
. Urines claires.