De très nombreux travaux ont été effectués pour préciser, comprendre et contrôler les effets de ces interactions avec l’organisme.

De multiples expérimentations animales in vivo et in vitro ont donné, sur l’existence d’effets néfastes, des résultats très souvent contradictoires. Cependant, pour des énergies très élevées, il est indiscutable que les ultrasons provoquent des dégradations tissulaires, cellulaires et même de l’ADN. Ces résultats ont été obtenus chez les mammifères, les insectes et les végétaux.

Dans le domaine des énergies utilisées en diagnostic médical, aucune preuve n’a été donnée jusqu’alors de l’existence chez l’animal ou chez l’homme de maladies acquises, de lésions macroscopiques induites, de malformations fœtales, de tares génétiques, conséquences directes et évidentes, statistiquement parlantes de l’application des ultrasons.

Le nombre de fœtus nés dans le monde depuis l’utilisation diagnostique des ultrasons dans les maternités ne montre toujours ni augmentation du taux des malformations ni maladies acquises par rapport à la population fœtale n’ayant subi aucun examen ultrasonore.

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